Premier conte lucide: cube se raconte – 2ieme partie

conscience

Bon. Me revoilà! Je vous ai laissé un mois pour réfléchir, méditer, sentir, ressentir, expérimenter, partager. Vous vous êtes familiarisés avec mes six côtés, six besoins, six formes gardiennes, trois savoirs, quatre bâtons de force et huit sommets. Je vous avais informé que j’ai 56 liens, 48 extérieurs et huit intérieurs. Je vais vous révéler comment je les ai actualisés.

Les liens ont été créés avec intention (5D), en toute conscience (7D). Avec amour, car dans notre espace/temps (4D) le pouvoir de création est à son maximum dans la synergie coeur/cerveau pour matérialiser en 3D. Et je représente la troisième dimension. J’ai débuté par mon côté en dessous.

Sage décision, car aujourd’hui l’insécurité ravage et bouleverse beaucoup plus que le manque de besoins fondamentaux. Ma base représente le concret, le pragmatique, l’ancrage, l’enracinement; en somme, la sécurité. Elle permet de contrôler passablement bien l’anxiété.

 Elle comporte 12 liens: un lien entre le bâton des feelings et le bâton des sentiments et son inverse, un lien entre le bâton des sentiments et le bâton de l’intuition et son inverse, un lien entre le bâton de l’intuition et le bâton de la raison et son inverse, un lien entre le bâton de la raison et le bâton des feelings et son inverse, un lien en diagonale entre le bâton des feelings et le bâton de l’intuition et son inverse et finalement un lien en diagonale entre le bâton des sentiments et le bâton de la raison et son inverse.

Je me suis servi du chant des voyelles, des notes de musique ou des deux à la fois selon l’humeur du moment. Le chant des voyelles comporte huit voyelles: a, o, è, é, ou, eu, i, u; les notes de musique choisies sont: mi, fa, ré#, ré, sol, fa#, sol#, la; les voyelles avec les notes: a en mi, o en fa, è en ré#, é en ré, ou en sol, eu en fa#, i en sol#, u en la.

Dans chacun de mes sommets résident une voyelle et une note. Je relie le bâton des feelings de ma base avec le bâton des sentiments de ma base en émettant à trois reprises oralement ou dans ma tête a…o… ou mi…fa… ou encore a…en mi o… en fa. Lorsque je sait/sent que le lien est complété, je passe au suivant. Et ainsi de suite pour les 12 liens de ma base. En tout temps je peux aussi me servir de l’octaèdre, la forme gardienne de mon dessous en l’imaginant ou en la visualisant.

Par la suite, je complète mon dessus qui représente le besoin d’être aimé et d’estime de soi, le conceptuel et l’abstrait. Dans chacun de mes sommets résident une voyelle et une note: ou, eu, i, u, et sol, fa#, sol#, la. Je suis le même ordre que pour mon dessous en commençant par le haut du bâton des feelings. La forme gardienne est l’icosaèdre.

Après cela, je termine mon côté est qui est le besoin d’aimer, le côté nord, les besoin fondamentaux, l’ego, le côté ouest, le besoin de se réaliser et le côté sud, le besoin de spiritualité. Dans mon quotidien j’ai été en situation de dépendance jusqu’à ce que j’aie finalisé 28 liens, en état d’indépendance jusqu’à 42 liens et au-delà en phase d’interdépendance.

Ne vous imaginez pas que j’ai complété tout cela en un jour. J’ai éprouvé un bien-être grandissant et une stabilité de plus en plus marquée. Il m’est arrivé lors d’un épisode de la vie difficile ou stressant de me sentir moins bien; j’ai alors recherché le lien défait et je l’ai reconstruit pour ma plus grande quiétude. Dans un prochain billet je vais vous entretenir des huit liens restants à l’intérieur de moi, de mes axes et du point zéro.

Billet #32

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