«Le gingembre est une espèce de plante originaire d’Inde…dont on utilise le rhizome (racine) en cuisine et en médecine traditionnelle. Ce rhizome est une épice très employée dans un grand nombre de cuisines asiatiques, et en particulier dans la cuisine indienne» (Wikipédia).

Il est une des épices les plus délicieuses de la planète. «Car il y en a. Et le gingembre faisant partie de celles qui sont les plus délicieuses de la planète, on le trouve aujourd’hui un peu partout dans les plats exotiques, les salades, les sauces, les desserts» (Jean-Marc Dupuis, sante-nature-innovation.fr, 17 janvier 2019).

Mais, du point de vue de la santé, il a plusieurs effets sur notre corps et notre cerveau. Pour ce faire, il peut être consommé en capsules, en poudre, en tisanes, en huile essentielle, frais, séché ou en sirop. Il possède plusieurs nutriments et composés bioactifs.

Il est efficace contre les nausées et les vomissements chez la femme enceinte, contre le mal des transports (bateau ou avion), après une chirurgie ou pendant une période de chimiothérapie. Il agit aussi contre la nausée associée à l’angoisse soudaine.

La vidange de l’estomac est accélérée. Wikipédia rapporte ceci : «Un article de synthèse, dans lequel ont été recensées des études réalisées chez l’animal, démontre que le gingembre (comme d’autres épices) pourrait stimuler la sécrétion de bile et l’activité de différents enzymes digestifs, résultant en une digestion plus rapide des aliments» (K. Platel, Indian Journal of Medical Research, mai 2004).

Le gingembre contient aussi des huiles essentielles appelées gingérols. Elles lui donnent son odeur et son arôme de même que ses propriétés anti-inflammatoire et antioxydante (www.ncbi.nim.nih.gov/pubmed/25230520). Elles permettent d’agir dans les douleurs musculaires et articulaires (www.ncbi.nim.nih.gov/pubmed/20418184).

Chez les diabétiques de type 2, le gingembre permet une baisse du taux de glycémie à jeun et de l’hémoglobine glyquée (HbA1C) (N. Khandouzi, Iranian Journal of Pharmaceutical Research, 2015). Cette épice protège les neurones contre les maladies dégénératives (Parkinson, Alzheimer) car elle augmente la vitesse de réaction et la mémoire (www..ncbi.nim.nih.gov/pmc/articles/PMC3253463/).

«En consommant du gingembre avec de l’ail ou de l’oignon (ou mieux encore, les deux) on créerait une synergie entre leurs différents composés antioxydants. Ce qui leur permettrait de surpasser leurs effets antioxydants individuels (passeportsante.net).

Le gingembre et le citron se potentialisent aussi pour nettoyer le corps en général et le sang en particulier de leurs déchets. La même synergie existe pour agir bénéfiquement sur le système immunitaire et sur le nettoyage de la peau en agissant par l’intérieur.

Le gingembre est un aliment généralement reconnu comme sûr. cependant, il faut éviter d’en consommer si nous avons des problèmes de coagulation ou des calculs biliaires. Il est déconseillé avant une intervention chirurgicale ou pour des personnes en sous-poids. Réfléchissons, méditons, partageons la santecorazon.quebec.

Billet # 180