Luc Montagnier est décédé à 89 ans. Il avait reçu le Prix Nobel de médecine pour sa découverte du virus du SIDA 25 ans auparavant. Il était biologiste, virologue, professeur et chercheur émérite. Vers la fin de sa vie, il faisait des recherches sur la mémoire de l’eau et la médecine du futur. Il disait souvent que l’avenir de la thérapeutique médicale n’était pas que chimique, mais que la physique y jouerait également un grand rôle.

La médecine du 20^ème siècle a bénéficié de la révolution pharmacologique. Après la découverte des antibiotiques dans les années 1930, des milliers de molécules furent découvertes jusqu’aux années 1980 par la chimie de synthèse. Depuis, la chimie est peu efficace contre les maladies chroniques. Des molécules naturelles (vitamine D, oméga-3, probiotiques…) peuvent aider pour la santé. Mais, elles demeurent des molécules.

«En quelques dizaines d’années, les scientifiques sont passés de la conviction que les champs énergétiques à l’intérieur et autour étaient de la pure science-fiction à l’absolue certitude qu’ils existent» (James Oschman, Médecine énergétique, les bases scientifiques).

Le Pr Montagnier faisait des recherches sur la médecine par les ondes. «Le paradigme que je propose, pas tout seul bien entendu, c’est que les molécules biologiques non seulement interagissent par contact, par complémentarité de forme, mais aussi à travers des ondes. On a alors affaire à des signaux électromagnétiques spécifiques, des phénomènes de résonance, des actions à distance et des interférences».

Xavier Bazin, journaliste scientifique, affirme : «Ce qu’il propose est une véritable révolution dans la biologie. La plupart des médecins et biologistes ne croient qu’aux effets chimiques des molécules biologiques… Il est très probable que les champs électromagnétiques soient l’autre moyen de communication interne de l’organisme. Et que les cellules de notre corps communiquent entre elles sous la forme de fréquences électromagnétiques» (https://le-projet-e.com, Le Professeur Montagnier et la médecine du Futur- Le Projet E, 24 février 2022).

«Chaque cellule, chaque organe vibrerait à une certaine fréquence, ce qui lui permettrait d’entrer en communication et résonance avec les autres, comme un orchestre symphonique. Dès lors, la santé correspondrait à un concert vibratoire parfaitement harmonieux, aux bonnes fréquences électromagnétiques… Et la maladie serait en partie causée par les fausses notes, les blocages qui empêchent la communication et les mécanismes d’auto-réparation et d’auto-guérison de notre corps» (Ibid.).

C’est la même vision que celle des médecines traditionnelles. La partie 2 va suivre bientôt.

Billet # 293