Maladie de Lyme : du nouveau

Maladie de Lyme

Passeportsante.net la résume ainsi : «La maladie de Lyme ou borréliose de Lyme est une maladie infectieuse non contagieuse, causée par une bactérie, Borrelia burgdorferi, transmise par des tiques. La maladie est parfois difficile à diagnostiquer puisque les piqûres de tiques ne sont pas toujours visibles et les symptômes s’apparentent à ceux d’autres maladies telles que la grippe. La maladie de Lyme se guérit habituellement efficacement à l’aide d’antibiotiques. Si elle n’est pas traitée rapidement, la maladie peut toucher les articulations et le système nerveux».

Xavier Bazin, journaliste scientifique, écrit dans la lettre d’informations Santé Corps Esprit du 21 mars 2019 : «Les spécialistes estiment qu’il y a 30 000 nouveaux cas chaque année en France. Et le nombre de cas ne cesse d’augmenter. Aux États-Unis, des panneaux alertent la population dans les endroits où la bactérie est la plus présente. En Allemagne, des traitements ont été mis en place officiellement. En France, on fait encore “comme si ça n’existait pas”» (www.sante-corps-esprit.com). La répartition géographique est connue. La bactérie est en dormance l’hiver mais redevient active à partir de 100C. Il faut maintenant tenir compte du réchauffement climatique.

«L’existence et la signification de formes non guéries par le traitement standard, ou l’attribution de pathologies chroniques à la maladie de Lyme, posent le problème de la “maladie chronique de Lyme”, une controverse sociétale dite Lyme War aux États-Unis ou Scandale de Lyme en France» (Wikipédia).

Mais qu’a donc de spécial la bactérie B. burgdorferi ? Elle a la forme d’un ressort et est capable de se projeter au loin. Elle est ainsi plus rapide que nos globules blancs. Elle berne notre système immunitaire en imitant les cellules avoisinantes. Elle peut réduire sa taille à 1 %, pénétrer dans une cellule et y rester pendant de nombreux mois en étant totalement incognito. Elle sécrète un biofilm (matrice adhésive et protectrice) pratiquement inviolable, se multiplie et colonise partout dans le corps. (R. Lenglet, L’affaire de la maladie de Lyme une enquête, Actes Sud 2018).

Et il est où le nouveau ? En laboratoire in vitro. Xavier Bazin révèle : «Cela fait seulement quelques années que des chercheurs se sont mis à tester l’efficacité des huiles essentielles avec les mêmes méthodes scientifiques que pour les médicaments…Il y a deux ans, une première étude avait déjà montré que trois substances naturelles étaient plus efficaces que la daptomacyne, un antibiotique ultra-puissant, utilisé en intraveineuse et pourtant incapable de tuer les formes résistantes de la bactérie» (J. Feng, Frontmed Lausanne, octobre 2017).

Xavier Bazin poursuit : «La plus prestigieuse école de santé publique au monde (Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health) vient de prouver l’efficacité d’un traitement 100 % naturel contre la maladie de Lyme» (J. Feng, Antibiotics, octobre 2018).

Les chercheurs ont testé séparément in vitro 35 huiles essentielles différentes à une très basse dilution (10 gouttes dans un litre). Sans exception, elles diminuent le nombre de bactéries et deux en particulier les tuent toutes en sept jours et ce sans récidive : Les huiles essentielles d’ail et de cannelle (aldéhydes cinnamiques).

Ötzi a été le premier homme connu à être infecté par la bactérie B. burgdorferi il y a 4 550 ans. Aurait-il survécu à cette infection avec ces huiles essentielles ? C’est un sujet à parler avec notre naturopathe. Réfléchissons, méditons, partageons la santecorazon.quebec.

Billet # 191

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