L’autisme, pourquoi ?

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«L’autisme, ou plus généralement les troubles du spectre de l’autisme (TSA), est un trouble du développement humain caractérisé par des difficultés de l’apprentissage social et de la communication, avec des comportements stéréotypés et persévératifs» (Wikipédia).

Au Canada, La prévalence de l’autisme dans la population entière est d’une personne sur 94. Si l’on ne regarde que les jeunes de 5 à 17 ans, le taux monte à un sur 66. Au Québec, 1.4 % de la population est atteinte. Chez les jeunes (5 à 17 ans), le taux se situe à un sur 64. Au niveau scolaire, les jeunes avec autisme sont trois fois plus fréquents que ceux avec troubles du langage et dix fois plus fréquents que ceux avec une déficience intellectuelle.

Dans le monde, environ 1 % de la population est atteinte. Aux États-Unis, en 2016, un jeune sur 40 souffrait d’autisme. Mais c’était en 2014 d’un sur 59, en 2008, d’un sur 68, en 2002, d’un sur 150 et en 1960, d’un sur 1 000. (https://www.cdc.gov/ncbddd/autism/data.html).

Mais pourquoi surviennent les TSA ? «Leurs origines comprennent une part génétique complexe, impliquant plusieurs gènes, et des influences environnementales encore mal comprises. La notion de spectre de l’autisme reflète également la diversité des phénotypes qui sont observés» (Wikipédia).

L’autisme est en partie génétique. Chez les vrais jumeaux, si l’un est autiste, l’autre a 70 % de risque de l’être aussi malgré qu’il ait les mêmes gènes (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4996332/). Des facteurs de l’environnement sont aussi impliqués. Et ils sont multiples.

Ce peut être, pendant la grossesse de la mère, une déficience en vitamine D (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27895322), en fer (https://academic.oup.com/aje/article/180/9/890/2739176) ou encore en B9 (https://ehp.niehs.nih.gov/doi/pdf/10.1289/EHP604). Mais ce peut être aussi l’exposition prénatale aux pesticides (https://www.bmj.com/content/364/bmj.1962), à l’acétaminophène (https://academic.oup.com/aje/article/187/8/1817/4980325), aux anti-dépresseurs (https://ije.oxfordjournals.org/content/early/2016/06/27/ije.dyw115) ou au médicament anti-épileptique dépakine (https://www.lemonde.fr/sante/article/2018/06/22/une-etude-confirme-l-ampleur-des-degas-causes-par-la-depakine_5319657_1651302.html).

«Est-ce un hasard si tous ces produits chimiques n’existaient pas avant les années 1970 ?» (Xavier Bazin, journaliste scientifique, https://www.sante-corps-esprit.com, 9 octobre 2019). Il a colligé les nombreuses références scientifiques citées dans ce billet.

Comme autre facteur pour expliquer le TSA, mentionnons le changement de notre microbiote (flore intestinale) par les antibiotiques, les césariennes, l’absence d’allaitement, les polluants, le blé moderne riche en gluten, le fructose et les additifs alimentaires, «sans oublier l’épidémie d’anxiété et de stress chronique qui affecte aussi le microbiote» (Xavier Bazin, ibid.).

Et finalement, le dernier facteur est l’aluminium vaccinal. Xavier Bazin cite le Pr Christopher Exley : «Jusqu’à cette recherche que je viens de faire, je ne croyais pas à un lien entre l’aluminium et l’autisme parce qu’il n’y avait pas assez de preuves scientifiques, mais maintenant je crois à 100 % que l’aluminium a un rôle dans l’autisme, parce que les résultats de cette recherche sont si définitifs» (https://www.prevention-sante.eu/actus/aluminium-autisme-decouverte-pr-christopher-exley).

Mentionnons que certains vaccins canins ont comme adjuvant du phosphate de calcium au lieu de l’hydroxyde d’aluminium ou du phosphate d’aluminium. Il est donc possible de vacciner sans aluminium ou sans mercure. Réfléchissons, méditons, partageons la santecorazon.quebec.

Billet # 220

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