L’envahisseur méconnu

méconnu

Il est sous-jacent à beaucoup de maladies chroniques; en Amérique du Nord seulement, 250 millions de personnes sont malades ou ont à combattre des symptômes mystérieux. La majorité du temps, il est en état de latence ou en train de se multiplier caché dans des organes du corps humain, indétectable par les tests médicaux.

Il attend l’élément déclencheur qui va affaiblir la résistance de l’homme. Ce peut être l’exposition à des moisissures, au mercure (obturations dentaires, thon ou espadon) à la peinture fraîche (COV, composés organiques volatils) ou au nettoyage de tapis, une déficience en zinc ou en vitamine B12, des prescriptions de médicaments (antibiotiques, benzodiazépines) ou l’abus de drogues.

Il agit aussi en présence de changements hormonaux, de traumatismes physiques, de piqûres d’insectes, d’algues rouges et d’insomnie chronique. Lorsque nous avons du stress financier, le coeur brisé ou que nous vivons une trahison nous sommes vulnérables.

Il existe depuis plus de 100 ans et le nombre de souches est en augmentation; plus de 60 souches peuvent se catégoriser en six groupes d’environ dix types chacun. L’envahissement se fait en quatre stades. Au premier, les symptômes sont légers comme ceux d’un rhume. Le début du second est la mononucléose, particulièrement fréquente aux niveaux collégial et universitaire. À la fin de ce stade, il fait son nid dans le foie, la rate et les organes reproducteurs (prostate, utérus, ovaires).

Il passe au troisième stade en attaquant la thyroïde (hypothyroïdie, thyroïdite, hyperthyroïdie, maladie de Graves). Lorsqu’il assaillit le système nerveux, il est au quatrième (fatigue, confusion, anxiété, dépression, trouble de l’attention). Les tests sanguins en médecine (vitesse de sédimentation, protéine C-réactive, immunoglobuline A et G et anticorps antinucléaires) ne sont pas concluants.

Il est friand de métaux lourds (cuivre, arsenic, cadmium, fer, nickel, mercure, aluminium…) que l’on retrouve dans les pesticides, les herbicides, les fongicides, le DDT et les antibiotiques. C’est la raison pour laquelle il se nidifie dans le foie. Par ailleurs, il est nourri par les aliments suivants: oeufs, produits laitiers, gluten, huile de canola, porc et dans une moindre mesure maïs et soya, ceux contaminés par les pesticides et les OGM.

Il bat en retraite avec les légumes, les épices et les fruits, particulièrement les bleuets sauvages; il est décimé par l’iode (en supplément ou dans les aliments marins), le zinc (qui potentialise l’iode) et le supplément L-lysine. Le but est de diminuer sa charge de 90%, niveau auquel le système immunitaire de l’humain est défié de façon à rester optimal.

À date, une seule personne parle de lui et révèle tous ses secrets; il s’agit du médium médical Anthony William (Hay House Publishers). Il affirme que les “maladies autoimmunes” suivantes sont en réalité causée par lui: syndrome de fatigue chronique, fibromyalgie, eczéma, psoriasis, arthrite psoriasique, hépatite A, B, C, D, sclérose en plaques, arthrite rhumatoïde et lupus.

Étonnant n’est-ce-pas? Mais qui est-il? Voici ce qu’aurait pu écrire Jean de La Fontaine au XXIième siècle:

Un mal qui répand la terreur,

Mal que le Ciel en sa fureur

Inventa pour punir les crimes de la terre,

Le virus Epstein-Barr (puisqu’il faut l’appeler par son nom)

Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,

faisait aux humains la guerre.

Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés…

Réfléchissons, méditons, partageons la santecorazon.quebec.

Billet # 127 

J'aime et je partage ce billet sur

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *