Masculinité toxique et virilité saine

Masculinité

«Un homme doit être fort, doit protéger, doit subvenir aux besoins du foyer. Un homme ne pleure pas, ne demande pas d’aide, ne craque pas. Autant de stéréotypes de genre responsables de la masculinité toxique. Un homme, au même titre qu’une femme est avant tout un être humain. Avec ses défauts, ses qualités, sa propre vision du monde, ses expériences personnelles. Il est temps que chaque homme définisse ce qu’est pour lui sa propre masculinité» (www.cosmopolitan.fr > relations sociales > Qu’est-ce que la masculinité toxique ?

Cette masculinité découle d’un mythe, d’une image stéréotypée de ce qu’est un homme, un vrai :

  • «Un garçon ne pleure pas.
  • Un garçon doit se battre pour se faire respecter.
  • Un garçon sensible est faible.
  • Un garçon doit subvenir aux besoins de sa famille.
  • Un garçon ne craque pas». (Cosmopolitan, ibid.)

«Cette masculinité toxique fait naître chez les hommes un sentiment de honte, une perte de confiance en eux et de la frustration. Encore plus grave, elle peut engendrer des comportements violents et inadmissibles» (Cosmopolitan, ibid.). Il peut s’ensuivre :

  • Des comportements déplacés.
  • Du harcèlement.
  • De la misogynie.
  • Des violences domestiques.
  • Des agressions sexuelles.

«Ce n’est pas parce qu’il faut faire la chasse à la masculinité toxique qu’il faut détruire la masculinité tout court…Certains groupes féministes radicaux [voudraient] détruire tout ce qui fait un homme, y compris les qualités associées à la virilité :

  • Le courage.
  • La force physique.
  • La rectitude morale.
  • La subvention aux besoins du groupe.
  • la capacité à protéger les siens.
  • …» (L. Chevallier, Olliscience, Contre la masculinité toxique, 1 août 2020).

«Les émotions, lorsqu’elles sont enfouies, ne disparaissent pas; elles se manifestent d’autres façons. Les recherches du psychiatre Jeroen Jansz, de l’Université d’Amsterdam, ont révélé que les hommes ont autant de capacités émotionnelles que les femmes, mais qu’ils ne les exercent pas aussi souvent qu’elles» (L. Plank, www.ellequebec.com > société > reportages > Masculinité toxique : la grande répression, 8 juin 2020).

«Pour mettre fin à la masculinité toxique, des gestes au niveau de l’éducation pourraient être entrepris. Une éducation sans stéréotype du genre aide en partie à diminuer les clichés de la virilité, selon Dr Agnès Pargade [pédopsychiatre], qui souligne l’importance d’élever les enfants de la même façon» (www.femmeactuelle.fr > Santé > Psycho > Qu’est-ce que la masculinité toxique, 12 février 2019).

Il est très rafraîchissant d’écouter la chanson XY sur https://youtu.be/NSfakMV_Cwk.

Pour construire une virilité saine, il est possible de s’abonner à La lettre Apogée (cercle-apogee.fr > Qui suis-je- La lettre Apogée). «La lettre Apogée est une newletter gratuite qui parle de force physique, de renforcement mental, d’hygiène de vie… L’objectif est d’entretenir sa masculinité, d’apprendre à se discipliner… en somme, de développer une virilité saine à une époque où la notion même de virilité fait couler beaucoup d’encre» (L. Chevallier, Ibid.).

Billet # 260

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